Les frontières ne sont plus une réalité immatérielle comme l’histoire ou un concept comme l’Action, mais une réalité concrète, bien qu’elles puissent prendre de nombreuses formes, au sens propre et au sens figuré.
La frontière pose alors la question de la survie dans l’exode, mais aussi celle de la transgression, donc celle de l’interdit.
Plus profondément encore, elle est une figure de ce qui est au-delà, donc toujours celle du désir voire du rêve. L’errance et le voyage, ce qui est mien, ce que je suis, celui qu’est l’autre sont autant de points de rencontres que la thématique de la frontière permet d’explorer spatialement et scéniquement.
En cours de rédaction
Comment l’artiste peut-il s’impliquer dans la cité ? Que dit-il du monde dans lequel il est né, dans lequel il vit, de sa temporalité immédiate ? Ce cycle explore le souvenir comme fragment de l’identité de l’individu et dans lequel les artistes de la compagnie et différents publics créent ensemble des oeuvres basées sur leurs mémoires personnelles.
Comment, au sein de la crise du monde, puis-je continuer à désirer et à confronter mon désir à celui des autres ? Quels manques sont nos mobiles pour agir ?
Je suis le garçon qui ne parlera pas, un chemin vers Hamlet
Si tout semble déjà avoir été pensé et éprouvé, peut-on encore agir dans le cimetière du monde ?
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